Alister
mouvement perpétuel

Descendant de Nino Ferrer et d’un minimalisme mélodique assumé, proche de l’easy listening, Alister n’a pas peur de se contenter d’une seule idée par chanson. De quoi se faire peur a priori donc, mais ce sont clairement la cohérence et les ambiances de Mouvement Perpétuel qui emportent l’auditeur, pris au coeur d’un tourbillon de ritournelles, dans lesquelles l’hypnose joue un rôle capital. « Je travaille pour un con » ouvre cette série de chansons plus piquantes qu’elles en ont l’air, où l’amertume se confond avec l’ironie dans un étrange glacis pop.

François Corda

 

 

Commencez à écrire et validez pour lancer la recherche.